
Shoraya STRASSER, née le 25 novembre 2000, a été baptisée le 1er décembre au temple d’Annemasse.
29.12.2024
Shoraya STRASSER, née le 25 novembre 2000, a été baptisée le 1er décembre au temple d’Annemasse.
27.12.2024
Comme chaque année depuis 1930 une semaine de prière pour l’Unité des Chrétiens est organisée sur le plan mondial du 18 au 25 janvier. Un pays ou un collectif international propose et prépare chaque année un thème différent, des suggestions de prière pour chaque jour et une célébration.
Cette année, c’est la communauté œcuménique de Bose en Italie qui a choisi le thème :
Cette question de Jésus à Marthe après la mort de Lazare nous est adressée à nous aussi qui confessons notre foi en la résurrection et la vie éternelle…
Et pourtant ? Que croyons-nous vraiment ?
Trois temps forts sont proposés :
Pour le groupe de préparation, Françoise Giraud
26.12.2024
Seigneur, maître du temps,
fais que je sois toujours prêt à te donner
le temps que tu m’as donné.
Seigneur, maître du temps,
aide-moi à trouver chaque jour
le temps de te rencontrer et le temps d’écouter les autres,
le temps d’admirer et le temps de respirer,
le temps de me taire et le temps de m’arrêter,
le temps de sourire et le temps de remercier,
le temps de réfléchir et le temps de pardonner,
le temps d’aimer et le temps de prier.
Seigneur, maître du temps,
je te donne toutes les heures de cette journée
et tous les jours de ma vie,
jusqu’au moment où mon temps sur la terre sera fini.
Livre de prières p. 32, Église réformée de France
25.12.2024
Lors du premier dimanche de l’Avent, nous avons eu la joie d’accueillir Shoraya 24 ans pour son baptême. Elle était soutenue par son futur mari, Lucas. Tous les deux d’origine alsacienne, ils habitent Lucinges.
Voici quelques lignes du témoignage qu’elle a partagé au culte :
«Je m’appelle Shoraya. Lorsque j’étais au collège, j’étais quelqu’un d’assez naïf et, pour ne pas me sentir exclue, j’écoutais sans cesse ce que les autres me disaient.
J’avais une bonne relation avec Dieu et j’allais au catéchisme, mais j’ai fini par abandonner, dissuadée par ce groupe d’amis.
Les années ont passé, et je ressentais le manque d’une présence. Je cherchais à être aimée sans trouver. J’ai rencontré Jésus quand j’étais au plus bas, et petit à petit il m’a guérie. Par sa grâce, j’ai pu me redécouvrir. Il a entendu mon désespoir et mes prières. Depuis ce jour, je suis heureuse et en paix grâce à Dieu. Je demande le baptême, Jésus-Christ est mon Sauveur !»
24.12.2024
Nous étions une quinzaine à avoir répondu à l'invitation du Consistoire à participer à la première séance de formation des prédicateurs.
Venant de six paroisses, nous nous sommes retrouvés à Annemasse par une journée grise et pluvieuse, mais dans une ambiance chaleureuse et accueillante. Certains étaient expérimentés, d’autres curieux de découvrir thématique et ambiance : les parcours divers et variés ont enrichi les échanges.
Les pasteurs Pierre et Charlotte ont piloté nos réflexions et échanges, riches en partage d'expérience, nourris de réflexions de fond, avec un rappel des textes réglementaires et liturgiques qui encadrent le ministère des prédicateurs au sein de notre Église.
L’objectif était de reprendre les fondamentaux du culte, à partir de l'origine du mot, qui incite à cultiver la foi et l'esprit communautaire, jusqu'à découvrir sa structure, son but et son sens.
On reconnaît un bon culte si l’on y retrouve et l’on y entend l'annonce de la Bonne Nouvelle. On ne crée pas le sacré, c'est le sacré qui nous appelle. Un équilibre entre tradition et actualisation est nécessaire. Voilà quelques phrases captées, travaillées et à retravailler demain en nous rappelant que, dans le protestantisme, il est bon de toujours travailler et soigner la foi dans ses deux dimensions, individuelle et communautaire, sans pouvoir séparer ces deux aspects, qui se nourrissent mutuellement en des formes multiples.
Laura, Église du Pays de Gex
23.12.2024
Pendant les vacances de la Toussaint, un petit groupe d’enfants, parents et grands-parents s’est retrouvé au temple pour louer Dieu.
Nous avons appris le cantique gestué «Si j’étais un papillon» ainsi que le canon «C’est vrai, tel que je suis Dieu m’aime». Petits et grands étaient très appliqués pour chanter la gloire de Dieu ! Un bon goûter a clôturé cette rencontre heureuse.
21.12.2024
Une première au temple d’Annemasse : le premier samedi de l’Avent, la troupe professionnelle genevoise des Théopopettes était chez nous pour deux représentations, suivies d’un goûter.
Notre volonté était d’ouvrir largement notre temple et de nous faire connaître.
Les Théopopettes ont conquis petits et grands !
Écoutons le retour de Laura : «Le spectacle des Théopopettes mélange théorie et humour simple, autour du thème de la naissance de Jésus et de la fête de Noël. Je me suis surprise à être captivée par le spectacle très rapidement, tant les marionnettes sont agréables à regarder et les marionnettistes professionnelles. J’ai adoré la taquinerie de Théo et la maturité de Popette ! Le mélange est parfait !»
20.12.2024
Nous avons partagé l'Évangile de la résurrection suite au décès de :
Maryse PELLIER-MERMIN (Monnetier-Mornex, 90 ans)
Aimé Frédéric BOUVARD (Genève, 95 ans)
19.12.2024
Comme l’an dernier, le Synode régional a été riche en rencontres et en échanges.
Les 139 personnes représentant les 57 Églises locales de notre région Centre-Alpes-Rhône (CAR) ont travaillé avec assiduité, en groupes puis en plénière, sur le thème synodal «Réformer l’Église en vue de sa mission : quelles priorités pour la région CAR ?».
À l’écoute des spécificités locales, elles ont poursuivi la réflexion entamée cette année par les conseils presbytéraux sur les quatre déclinaisons de ce thème : 1) simplifier l’organisation actuelle et adapter la structure à la mission ; 2) les ministères collégiaux et locaux ; 3) les ministères particuliers dans l’Église ; 4) l’immobilier et les finances.
Les propositions concrètes formulées par le Conseil régional ont été accueillies favorablement et néanmoins adaptées sur la base de la synthèse des réactions recueillies lors des travaux en groupe. Le Synode régional invite les Églises locales à renforcer leur collaboration au sein des ensembles ou des consistoires et à faire preuve de créativité dans tous les domaines (immobilier, ministères particuliers, animation spirituelle, animation financière). Il exhorte le Conseil régional à leur apporter un soutien concret.
C’est la vocation des quatre commissions que le Conseil régional prévoit de créer, avec l’approbation du Synode : la Commission Régionale Immobilière, dont le cahier des charges sera revu, la Commission Régionale d’Animation Financière, la Commission Régionale Évangélisation et Mission et la Commission Régionale Écoute et Accompagnement.
La session s’est terminée par le culte de reconnaissance du ministère des conseillers régionaux fraîchement élus ainsi que de l’informatrice régionale en charge du journal Réveil, Nicole Roulland-Rupp. Dans la confiance et la reconnaissance, nous avons prié pour chacune et chacun d'eux.
Les nombreux partages pendant et autour de ces travaux ont été une source d’inspiration et un bon boost pour le moral : animées par leur mission de témoignage et fortes de l’espérance en Jésus-Christ, nos Églises peuvent se renouveler et trouver des idées pour développer leur communauté et la faire rayonner !
Catherine, déléguée synodale
31.10.2024
Cadeaux, musique, sapin… Les traditions de Noël ont évolué au fil des siècles. Et il paraîtrait que notre réformateur Martin Luther n’y serait pas étranger !
Au XVIe siècle, il était coutume que les enfants reçoivent des friandises de la part de Saint-Nicolas le 6 décembre. Mais Luther voyait ce culte d’un mauvais œil, car seul Dieu est Saint. Il aurait demandé à sa fille Magdalena : «Petite Lena, qu’est-ce que le Christ Saint va t’offrir ?» Avec l’importance grandissante de l’enfant Jésus, la plupart des cadeaux ont été offerts par la suite à Noël et non plus à la Saint-Nicolas. Et depuis le milieu du XIXe siècle, c’est maintenant le Père Noël qui apporte les cadeaux aux enfants…
Une tradition centrale de Noël est le chant. Luther s’est consacré à la création de nouveaux chants pour les assemblées en remplaçant les cantiques traditionnels par de nouvelles paroles. Son choral de Noël le plus célèbre est : «Vom Himmel hoch, da komm ich her» (Du haut du ciel je descends), qui date de 1535.
En Allemagne, on ne connaît le sapin de Noël dans sa forme actuelle que depuis la fin du XVIe siècle. Un officier suédois, blessé et soigné là-bas, aurait exprimé sa gratitude en dressant pour la fête de Noël un arbre décoré avec des bougies, comme dans son pays d’origine.
Martin Luther aurait popularisé ce sapin de Noël. Certaines œuvres montrent également Luther en famille autour d’un sapin de Noël orné de bougies.
D’après un article de Paroles Protestantes, Paris.
Rassemblés par la lumière du Christ dans la joie du don et des chants partagés, je vous souhaite un Joyeux Noël !
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